29 mars 2010

Bologna vista dagli Asinelli


Visto che mi sono laureata sono finalmente potuta salire in cima all'Asinelli, che è la torre più alta di Bologna, in pieno centro di essa. Infatti a Bologna, ridente città universitaria, vanno rispettate una serie di "leggi invisibili per gli universitari" la cui non osservanza comporta infinita sfiga e mancata laurea agli studenti universitari.
La vista è davvero mozzafiato.
In totale ho abitato a Bologna dalla 5a elementare alla 2a media (inclusi) e per 3 anni in due comode rate per l'università. Fanno 6 anni. Mi sembrano molto di più, a volte. E' comunque la cifra maggiore di anni passati in totale in una stessa città (sebbene con indirizzi diversi!) da parte mia. Non detiene però il record di anni consecutivi, che è di Como con il periodo 3a media- 3a liceo inclusi.
Bologna mi mancherà, anche se non la lascerò probabilmente mai veramente.

28 mars 2010

Laurea 卒業式

Per la gioia di tutti, finalmente mi sono laureata!
Questo evento, secondo soltanto al crollo dell'impero romano per il carico di conseguenze che comporta, è stato debitamente festeggiato in questo locale il cui proprietario, come vedete, è stato costretto (non sappiamo come!)da mio padre a cambiare per una sera l'insegna da "Bravo Caffè" in "Brava Peppa" :D
Grazie a tutti!!!

やっと卒業しました
お祝いの一つとして、ご覧の通りこの店の名前が一時的に「BRAVO CAFE」から「BRAVA PEPPA」へ変化されてもらったのです!(店長がお父さんに頼まれたらしい!)。
皆さん、本当にありがとうございました!

25 mars 2010

Tesi di laurea 卒論


Domani (ormai oggi) mi laureo alla triennale con una tesi intitolata "Tre short stories di Hoshi Shinichi: introduzione, traduzione e commento".

L'enciclopedia di civiltà giapponese "Le Japon" dell'editore Louis Frédéric alla voce HOSHI SHIN'ICHI dice: " Scrittore di science-fiction, nato nel 1926 a Tokyo, che introdusse il genere in Giappone dal 1957 con la sua novella intitolata Sekisutora. Scrisse anche opere di altro genere, tra cui una biografia di suo nonno, Koganei Yoshihiko, nel 1974. La maggior parte delle sue opere sono state ampiamente tradotte tante lingue tra cui inglese, tedesco e svedese, ma non ancora in francese."

E nemmeno in italiano,aggiungo, tranne dalla sottoscritta :P

Non sarà stata una tesi totalmente inutile, almeno.
卒論のタイトルは「星新一のショートストリ。三つの作品への紹介、翻訳とコメント」です。

あるフランス製の日本についての百科事典によりますと、星新一の作品とは様々な言語で翻訳されましたが(例えば英語、ドイツ語など)フランス語はまだらしい。

イタリア語では翻訳されていない、私の卒論以外にね。

何かや役に立ったと思えるような卒論だったら嬉しいけどね!

Ce soir, le concert - Stasera, concerto - コンサート


Ce soir aura lieu le concert de la chorale de l'Université de Bologna - dans laquelle je chante - accompagnée de l'orchestre de l'Université de Leipzig. Le directeur de l'orchestre est jeune, talentueux et plein de charme...répéter a été un vrai plaisir! Comme quoi ceux qui nous dirigent peuvent faire la différence...
Au programme, du Schumann et du Brahms.
Voici pour moi des journées bien chargées, puisque ce soir j'ai le concert et demain ma cérémonie de diplôme!

Stasera si terrà il concerto del coro dell'Unibo - in cui canto- accompagnato dall'orchestra universitaria di Lipsia. Il direttore ospite è giovane, bravo e molto carismatico...le prove sono state un vero e proprio piacere, il che sicuramente porterà ad una bella esecuzione!
In programma Schumann (il Requiem für Mignon) e Brahms.
Questi sono per me giorni intensi...stasera concerto e domani laurea!

今夜は私の所属するボローニヤ大学の合唱団とライプツイッヒ大学のオーケストラのコンサートだ。オーケストラがこのコンサートのためにドイツから来てくらたわけ。その指揮者は若くて、上手でとてもカリスマ的な方でリハーサルは本当に楽しかった。コンサートもうまく行くといいな。
やっているのはシュマンとブラムス。
この日々は忙しいな!今夜はコンサート、明日は卒業式!
(Who am I? ;) )

22 mars 2010

独り言


この間はイタリア語でも述べたんですが、今年の受験勉強のおかげですくなくとも私は新聞を読む、ニュースを聞く人になった。隣の人のことも分からない昔の私にとってはかなりの上達で、入学試験を落ちてしまうとしてもこれからもう失わない生活のスタイルというか、生活の習慣が身に付けたような感じしていいことだと思う。ヨッシ!誇りだ。

でも受験勉強のおかげで分かるようになったことというと、弱点もすくなくはありません。日本の時事問題を詳しく細かいことまで理解しようとする努力の結果は、やはり、新しい言葉や表現を学んで身につける楽しさと共に、そんなにたくさん知らない単語があってからこそ凄く不安になるのつらさ。「これでじゃ、受かられるわけない」とか。

不安になるということだけじゃなくて、頭の中で「不安になるべきだよ、バカ、もっと頑張らなくちゃ」までの言葉が浮かんでくる。

確かに自分には厳しい。たまには身が持たない。
この厳しさの程度がおおげさなのか、ちょうどいいのか、自分でもはっきり分からないけどね。。。でも私なりにできるだけの努力したいの。

受かるのかな。

19 mars 2010

Une lesson qui nous vient des japonais: l'avenir du nouveau parti au pouvoir pourrait intéresser les tories.

Les japonais adorent remarquer les ressamblances entre leur pays et l'Angleterre. Les deux occupent des îles situées à l'extrémité d'un continent avec lequel les relations sont parfois compliquées. Les deux sont des monarchies constitutionnelles avec un système parlementaire. Les deux peuples, dit-on, donnent beaucoup d'importance à la tradition, aux bonnes manières, aux jardins bien soignés, et au thé.

La comparaison ne s'étend d'habitude pas jusqu'aux partis politiques. Mais dans la semaine où David Cameron a lancé une campagne électorale avec le slogan “votez pour le changement”, les points en commun sont devenus plus difficiles à ignorer. Le premier ministre japonais, Hatoyama Yukio, a remporté une victoire écrasante en août 2009 grâce à un mantra similaire qui demandait du “changement de régime”. Sa performance au pouvoir suivant l'élection est une lesson a ne pas rater pour les tories.

Après être parvenu a démoniser le gouvernement sous le Parti Libéral-démocrate pour avoir guidé le pays pendant des décennies de gâchis, incompétence et corruption, le Parti Démocrate japonais de Hatoyama a vite dégringolé vers ses propres scandales. Le secrétaire général et stratège électoral principal, Ichiro Ozawa, a été pris dans une enquête sur des financement politiques. Depuis, des irrégularités financières concernant d'autres membres du parti ont été devoilées, et l'image de Hatoyama n'est pas sortie indemne des questionnements sur un héritage de part de la mère, précédamment gardé au secret, de 900 millions de yen. Tout comme Cameron, le premier ministre vient d'un background privilégié et est vu par beaucoup de japonais comme une sorte d'aristocrate.

Les critiques sur le Parti Démocrate japonais (centre-gauche) vont jusqu'à la politique économique, avec la déflation, les révenus qui tombent et une dette nationale qui arrive presque à 200% du PIL qui contribuent à augmenter cette impression que la nation entière s'envase façon GB. Ce n'est pas un hasard, et c'est d'ailleurs très irritant, si la Chine cette année va dépasser le Japon en tant que 2ème économie mondiale.

Parmi les problèmes que les tories pourraient rencontrer si ils prennent le pouvoir en Angleterre, les promesses du nouveau gouvernement de faire passer des réformes de budget, de redonner la priorité aux dépenses publiques, d'introduire des subventions pour les enfants et d'élargir le nombre d'écoles gratuites restent irréalisés et probablement infinanciables. En plus de tout ça, un changement controversé en matière de politique sur l'immigration se profile.

Jusqu'à maintenant, le Japon -cette nation volontairement homogène- a imposé de sévères limitations sur tout afflux d'étrangers. Mais une population vieillissante et une main-d'oeuvre qui fait défaut signifient que le pays a besoin de plus de travailleurs.

Les défenseurs du Parti Démocrate disent que le parti est sincère quand il affirme vouloir aider les gens et éviter que les puissants bureaucrates décident de tout en politique. Mais quelques erreurs au niveau intérieur en plus de la perspective d'un humiliant pas en arrière – ou d'un face à face dangereux- avec les Etats-Unis à cause du problème de relocalisation d'une base militaire à Okinawa ont eu un poids non négligeable sur la position publique du nouveau gouvernement.

A peine 6 mois après l'élection, le taux d'approbation a chuté à environ 40% alors qu'on spécule sur le fait que les partenaires de la coalition pourraient s'envoler et Hatoyama démissionner.

Comme il l'a souvent été le cas en GB dans de circonstances pareilles, le Parti Démocrate dispose d'une grande consolation. Au moment même où il se bat, ses concurrents sont obligés de se confronter, une situation d'opposition bien inhabituelle.

Yoichi Masuzoe, le leader plus populaire du Parti Libéral-Démocrate, a averti cette semaine qu'il pourrait bien former un parti de rupture. L'opinion pense que le Parti Libéral est “le parti bizarre et stupide” maintenant, a-t'il remarqué, et si il ne change pas rapidement il risque de ne plus jamais réussir à regagner du pouvoir. Cameron et les siens espèrent que c'est le même avenir qui guette le labour de Brown après les élections, et viceversa. Le nouveau parti au pouvoir du Japon est en difficulté, et nous promet des problèmes aux urnes en juillet. Mais ses opposants sont même encore plus mal en point.

Traduction d'un article paru sur The Guardian le 5 mars.


15 mars 2010

Challenge 25

チャレンジ25 - Charenji 25, Challenge 25. E' la sfida che si è posto il governo giapponese con l'adozione di un provvedimento per abbassare di 25% rispetto agli anni 90, ed entro il 2020, le emissioni di CO2.
In questo spot televisivo "motivazionale" potete sentire la voce di Hatoyama che dice: "Se non fermiamo ora il riscaldamento globale, l'ambiente della Terra si distruggerà. Per il futuro dei bambini, raccogliamo insieme la sfida di tagliare di più del 25% la CO2".

Serendipity - Ciò che ho imparato finora preparandomi agli esami di ammissione per scuola interpreti.

Sono ormai 4 mesi che mi preparo in modo sistematico per gli esami di ammissione a scuola interpreti e benché solo il futuro mi dirà se saranno serviti a farmi passare gli esami, posso già tirare qualche conclusione positiva.
Quando ho iniziato a pensare di diventare interprete, e che mi sono informata visitando i siti ufficiali delle scuole interpreti, ero una persona che di quello che succedeva nel mondo non sapeva assolutamente nulla. Ero una persona che non si curava neanche di quello che capitava al vicino di casa, figuriamoci la politica e le questioni internazionali! Ora, l'interprete è una figura che per quanto riguarda i requisiti linguistici parla alla perfezione la sua lingua madre, se la cava del tutto egregiamente in una lingua straniera e ne capisce perfettamente un'altra (o due), e che per quanto riguarda gli altri requisiti è sempre informato dell'attualità ed ha doti di analisi del discorso oltre che una grande capacità mnemonica.
Perciò, quando ho letto che per prepararsi agli esami di ammissione bisognava leggere tutti i giorni i quotidiani in tutte le lingue di lavoro, e se possibile confrontare anche il modo in cui un dato argomento veniva trattato in tale e tal altro quotidiano, senza dimenticare di leggere un settimanale a settimana e un mensile al mese in tutte le lingue, ero molto poco fiduciosa nelle mie possibilità di riuscita. Mi sembrava un ostacolo insormontabile. Ogni tanto mi capitava, è vero, di prendere in mano un giornale e leggere. Ma chi ci capiva qualcosa? La politica italiana è sempre stata un macello, e gli articoli benché completi non sono scritti per chi non sa niente: sono inevitabilmente pieni di riferimenti a fatti e persone citati nelle "precedenti puntate". Le prospettive quindi non erano molto rosee.
Ora, da quando sono tornata dal Giappone ho cercato di seguire bene o male l'attualità giapponese, francese, italiana e internazionale. Ho iniziato a leggere davvero i quotidiani tutti i giorni. Grazie al cielo qui a Bologna c'è questo posto meraviglioso che si chiama "Sala Borsa" e che è una biblioteca comunale con tutti i principali quotidiani. I miei preferiti? Le Monde, The International Herald Tribune e The Guardian. Ovviamente leggo anche Repubblica. E ho scoperto che, impegnandosi un po' all'inizio per colmare le lacune, seguire l'attualità non solo è possibile, ma è anche coinvolgente. E' come leggere un romanzo che non finisce mai. Se sei stato un minimo attento, ti ricordi i nomi di tutti i personaggi e di quello che hanno fatto prima.
Sono diventata una che legge le news e capisce un minimo cosa succede nel mondo. E' divertente, e molto gratificante. In un certo senso sono diventata una cittadina migliore, anche se posso votare solo in Svizzera, della cui attualità sono ancora un po' ignorante, per mancanza di tempo di darmi alla lettura pure del Le Temps.
E credo che questo sia positivo. Avevo iniziato a leggere i giornali perché obbligata, ma ci ho preso gusto ed è diventata una specie di igiene di vita. Anche se non dovessi entrare a scuola interpreti, non credo che abbandonerò questa abitudine.
Un'altra cosa. Leggere è un conto, capire è un altro. Allenandomi a fare un paio di traduzioni degli articoli di giornale, oppure semplicemente leggendo con calma e fermandomi per interrogarmi (da sola) su quale sia la traduzione di questa o quest'altra parola dall'italiano al francese, dall'inglese al francese e all'italiano, dal francese all'italiano, non faccio solo esercizio di traduzione, ma faccio esercizio di comprensione e conoscenza. Prima di tradurre bisogna aver capito davvero. Anche perché con due lingue romanze, il rischio di fare italianismi o francesismi che poi in realtà sono vuoti di significato, è altissimo.
Un paio di esempi? In tutto questo tempo ho imparato che globalizzazione non è globalisation bensì mondialisation, che négociation non è negoziazione bensì trattativa, che summit è vertice in italiano, che tangente si traduce con pourcentage e che benché il dizionario dica che emendamento si traduce con amendement, l'uso reale che si fa di questa parola è secondo me basso quindi bisogna stare all'erta e vedere nei giornali francesi che parola viene effettivamente usata, sarà forse modification de la loi. Ad ogni modo quando uno ha davvero capito può spesso cavarsela con una parafrasi, cosa che uno che non ha capito non riesce a fare.
Ho scoperto quindi che anche la traduzione mi piace. Ho scoperto che anche solo diventare un buon interprete in 3 lingue (che io davo per scontate), francese, italiano e inglese, è una cosa non da poco e che se non dovessi entrare alla scuola interpreti con giapponese non sarebbe una tragedia (anche se ovviamente preferisco diventare interprete anche di giapponese).
La scoperta più sconvolgente, però, non ve l'ho detta. E cioè che ho dimenticato la mia lingua madre. E' possibile. Succede. Sì, io il francese lo parlo e lo capisco senza problemi. Ma a forza di vivere in Italia, ho perso alcune sfumature e sottigliezze. Che sto cercando di recuperare, con grandi sforzi e amore per la lingua e il suo buon uso.

13 mars 2010

A proposito del secondo "Hato Café"

Desidero inaugurare il secondo Hato Café - Café presso la mia Residenza Ufficiale in occasione dei quali sono invitate diverse persone a partecipare.

In occasione del primo Café, quello sul tema dell'educazione dei figli, molte persone hanno partecipato e ho potuto ascoltare pareri davvero preziosi. E' stato un giorno davvero significativo in cui nella residenza dall'immagine sempre così severa risuonavano le voci dei bambini.

Dunque, per il secondo Hato Café vorrei invitare alla Residenza tutti coloro i quali, per lavoro o in quanto studenti, hanno a che fare con il mondo della produzione agricola.

Io penso che l'industria agricola abbia grandi potenzialità. L'industria giapponese della produzione e distribuzione di beni alimentari è una delle maggiori al mondo, e, avvicinandosi all'industria del turismo, sarà molto fiorente anche all'estero con i prodotti agricoli di un Giappone sicuro e saldo. Vorrei pensare assieme a voi a come costruire questo futuro.

Naturalmente desidero anche che mi informiate del severo mondo dell'agricoltura e del cibo, eventuali punti di disaccordo sull'attuale azione del governo e richieste di alleggerimento delle regole.
I am looking forward to it.

Post sul blog di Hatoyama del 12 marzo.

12 mars 2010

Les problèmes de la princesse Aiko et de sa mère, Sa Majesté Masako.

Une princesse bousculée, une lourde couronne.

Article de Martin Fackler, The New York Times- Tokyo Journal, 12 mars 2010. Traduction par moi-même.

Quand un fonctionnaire de l'Agence de la Maison Impériale a annoncé la semaine passée que la princesse Aiko refusait d'aller à l'école parce qu'elle avait été intimidée par ses camarades, il a fait bien plus que revéler un problème banal qu'affronte un membre de l'ancienne et reservée monarchie du Japon.

Il a aussi revélé un nouvel aspect d'un des drammes plus captivants mais mystérieux au Japon, la dépression et réclusion durée 7 ans de la mère d'Aiko, la princesse héritière Masako, qui fut une diplomate formée à Harvard. Aiko est fille unique de la princesse Masako et de son mari, le prince héritier Naruhito, largement reconnue comme un des rares motifs de joie pour la triste princesse héritière.

Cet episode a de nouveau soumis la triste histoire de la princesse Masako au regard sévère de la presse populaire. Les médias ici ont représenté en 1993 son marriage comme le compte de fées d'un roturier qui épouse un prince, mais ils ont ensuite pris une attitude de plus en plus critique face à son incapacité de donner au trône un héritier mâle. On estime que la pression toujours plus forte a laquelle elle a été soumise est une des raisons principales qui l'ont menée à ce qui a tout l'air d'avoir été une dépression nerveuse.

Depuis l'annonce de la semaine passée, la princesse Masako est reapparue pour accompagner sa fille à l'école et même assister aux cours. Certains commentateurs se sont essayés à des spéculations sur le fait que les problèmes de la mère auraient pu rendre Aiko trop sensible ou emotionellement fragile.

La question en ce moment est de voire si la nouvelle que sa fille a été intimidée va rendre les japonais plus compatissants vers son sort, ou uniquement alimenter les critiques. Certains affirment que l'état d'Aiko ne fera qu'augmenter les demandes de la part du parti conservatoire aux père Naruhito, 50 ans, de renoncer à succeder à son père, l'Empereur Akihito, 76 ans.

“Beaucoup de gens ne vourront pas qu'une famille en telle mauvaise forme devienne l'Empereur et l'Impératrice” a dit Akira Hashimoto, un ancien camarade d'école de l'Empereur Akihito qui a écrit plusieurs livres sur la famille impériale. “Si les problèmes d'Aiko persistent, cela ne fera qu'augrmenter la pression sur le prince héritier Naruhito.”

L'attention de laquelle bénéficie à nouveau la famille des héritièrs au trône a repris vendredi, lorsque le fonctionnaire principal de l'Agence de la Maison Impériale, qui gère les affaires concernant le prince héritier et sa famille, a annoncé à une conférence de presse de routine qu'Aiko restait à la maison à cause de maux d'estomac et crises d'anxiété. Le fonctionnaire, Issei Nomura, a ensuite revélé que l'agence croiyait que la princesse avait subi des comportements violents de la part de garçons dans son école primaire, même s'il n'a pas donné de détails.

Ce défoulement apparamment imprévu est sans précédants parmi les cercles très restreints de la famille impériale japonaise, si liée aux traditions, et il a immédiatement déclenché une couverture médiatique fanatique des médias japonais. Certains reportages ont critiqué Nomura pour avoir réagi de façon excessive à un problème commun que beaucoup de parents d'autres classes sociales doivent affronter.

Toutefois les mots les plus crûs ont été addressés à l'école primaire Gakushuuin, crée il y a plus d'un siècle pour éduquer l'artistocratie d'avant-guerre du Japon. Des tabloids ont rapporté avec ton scandalisé comment l'école avait laissé que des élèves courent, crient en classe et se bagarrent dans la cour – une cohue normale dans d'autres écoles, mais inacceptable dans une école partonnée par la famille impériale.

En réponse aux commentaires de Nomura, un directeur de l'école, Motomasa Higashisono, a dit que Aiko avait pris peur car deux garçons avaient failli la heurter par accident alors qu'ils couraient à travers le corridor pour aller au réfectoire.

“D'après ce que j'ai cru comprendre, il n'y a pas eu d'actes de violence ou intimidation à l'égard de son altesse la princesse Aiko” a dit Mr. Higashisono. Malgré cela on a parlé de la possibilité que la famille impériale coupe ses relations avec l'école à cause de cet incident.

De façon indirecte, cette saga a aussi augmenté les préoccupations de quelques conservateurs sur la question si le prince Naruhito est apte a monter sur le trône ou pas. Certains observateurs de la Cour, comme Hashimoto ont commencé à se demander comment le prince pourrait s'occuper de ses tâches en tant que Empereur alors que sa femme en est incapable et que sa fille ne peut pas aller à l'école.

Naruhito a partagé le blâme à sa femme de ne pas avoir eu un garçon, ce qui a causé un débat très politique sur le fait de casser avec des siècles de tradition et permettre ainsi à une femme de monter au trône japonais, une des monarchies plus anciennes au monde. Ce dèbat s'est terminé il y a trois ans quand la femme du petit frère du prince héritier, le prince Akishino, a donné naissance à un fils, assurant ainsi au moins pour une génération la succession avec un héritier mâle.

D'autres, toutefois, disent que l'incident à l'école pourrait avoir l'effet contraire, c'est à dire de faire éprouver au public de la compassion pour princesse Masako. Si elle était perçue comme une mère préoccupée qui affronte les intimidations à son enfant, un problème bien trop commun dans le système éducatif très stressant du Japon, cela pourrait la faire sembler moins distante.

“Cela impressionnera le public, le fait que Masako a des problèmes comme nous tous”, a affirmé Takeshi Hara, un professeur spécialiste de la monarchie à l'Université Meiji. “Cela pourrait apporter plus de soutient à elle et au prince héritier”.


Una lezione giapponese di diritto 時効廃止改正案

"Il Consiglio dei Ministri ha approvato il 12 un progetto di emendamento della legge sul Codice Penale e sul Codice di Procedura Penale riguardante l'eliminazione della prescrizione per quanto riguarda crimini gravi quali omicidi.
Un ministro commenta: "Si tratta di un provvedimento che risponde alle vittime e alla voce dei cittadini per cui alcune cose non si possono perdonare". Il Ministro della Giustizia Chiba chiede che si agisca con tempestività, visto che si sta ancora usando la prescrizione.
La proposta di emendamento prevede l'eliminazione della prescrizione per reati gravi quali omicidio e omicidio con furto, e, per quanto riguarda altri crimini in cui "si è causata la morte di qualcuno", il raddoppiamento del periodo prima di andare in prescrizione. Inoltre verrebbero applicati gli stessi principi ai processi ancora in corso.
La proposta di emendamento verrà consegnata oggi pomeriggio al Parlamento".

Traduzione del servizio comparso su Yahoo News Japan il 12 marzo.

日本では今日、国会で時効の廃止を盛り込む刑法、刑事訴訟法改正案が提出されるのはイタリアのベルルスコに政権にとっては招くべき模範だと思います。


08 mars 2010

L'anno della lettura

Siete tutti al corrente? Quest'anno è "l'anno della lettura nazionale" (国民読書年 kokumin dokusho nen).
Ormai il fatto risale al mese di gennaio, ma ho comprato tanti diversi libri mentre scambiavo qualche idea con Matuoka Seigou*, nel centro di Tokyo. Di libri ce n'erano per tutti i gusti e gli scaffali mi hanno molto colpito per alcune trovate, di modo che il tempo passato in negozio è sembrato passare in un lampo.
Le librerie e le biblioteche, che racchiudono in sè conoscenze di tutti i tempi e di tutti i posti (古今東西の知 kokontouzai no chi), sono importanti luoghi di apprendimento.
Solo a prendere un libro in mano e a sfogliarlo alla rinfusa si ricevono stimoli mentali.
Trovandomi attualmente spesso in sedute parlamentari, ho raramente tempo di leggere approfonditamente, ma durante gli spostamenti ad esempio, oppure prima di dormire, prendo un libro in mano e leggo.
Che ne direste anche voi di cogliere come occasione quest'anno della lettura nazionale e aumentare le Vostre uscite a librerie e biblioteche?

Traduzione dell'articolo 国民読書年 del blog di Hatoyama in data 7 marzo.

* Noto redattore, scrittore e studioso di cultura giapponese (N.d.T.)

La figlia della coppia di principi ereditari non va a scuola e diventa argomento di attualità.

La figlia primogenita della coppia del principe ereditario, la piccola Aiko (8 anni), che non riusciva più ad andare a scuola, il giorno 8 si è recata alla quarta ora di lezione. L'Agenzia della Casa Imperiale ha reso noto che la madre, Sua Altezza Masako, ha accompagnato la figlia ed assistito alla lezione, per quietare le ansie di Aiko.
Dall'inizio di questo mese si sono susseguite le assenze, causate dalla forte preoccupazione di Aiko nei confronti del "comportamento violento" di alcuni compagni di classe.
Secondo quanto riferisce l'Agenzia della Casa Imperiale, l'alto funzionario imperiale, il Sig. Nomura, informerà a breve le loro Altezze l'Imperatore e l'Imperatrice sulle condizioni di Aiko. Riguardo all'annuncio fatto delle assenze di Aiko, il funzionario imperiale Kazaoka Noriyuki ha commentato, all'occasione di una regolare conferenza stampa tenutasi il giorno 8, che "il fatto di dare un resoconto sullo stato di salute dei membri della famiglia del principe ereditario era una pratica abituale alle conferenze stampa" e che " va inteso che si era parlato di Aiko dopo aver ottenuto preliminarmente la comprensione della scuola, seguendo l'ordine naturale delle cose."
Secondo la scuola, verso l'ora di pranzo del 7, il giorno seguente il preannuncio delle assenze di Aiko, un furgoncino pubblicitario di sinistra si sarebbe aggirato da quelle parti. Inoltre, telefonate di protesta e di opinioni sarebbe arrivate alla scuola stessa e all'Agenzia della Casa Imperiale.

Traduzione dell'articolo 愛子さま登校 雅子さま付き添い、授業も参観 "Aiko a scuola, Masako l'accompagna e assiste anche alle lezioni" sull'Asahi Online di lunedì 8 marzo.

Speaking about simultaneous interpreting

..."there are reflexes that have to be trained, like complete attention, suspicion and paranoia"

(From a Conference Interpreting Forum online)

04 mars 2010

学校の無償化 Rendere la scuola pubblica?

Questo è un post che scrivo come riassunto dell'attualità giapponese di fine febbraio che sono riuscita bene o male a seguire.

Innanzitutto, la traduzione del titolo in italiano: con "scuola pubblica" ho inteso il contrario di scuola privata intesa come scuola a pagamento, quindi, alla fine, scuola gratis. 無償(mushou) infatti significa gratis.
Tra le problematiche che il governo nipponico sta cercando di affrontare c'è anche quella dell'educazione. Lo si era notato già dal tema del primo Hato Café organizzato dal primo ministro, l'educazione dei figli. Ad ogni modo i parlamentari giapponesi si stanno ponendo la domanda del rendere o meno la scuola gratis e se sì fare così con le scuole statali 公立学校 (kouritsugakkou) e/o private 私立学校 (shiritsugakkou). Si noti che anche per le scuole statali c'è da pagare una tassa di iscrizione, che è circa 1/3 di quella delle private, ma che rappresenta comunque un peso per le famiglie non molto abbienti.
La proposta è determinata dai seguenti fattori, che agiscono come un circolo vizioso: il tasso di abbandono del liceo è alto. Il motivo è che le famiglie povere lasciano che i figli lavorino. Ovviamente per poter andare a scuola allo stesso tempo, bisogna lavorare di sera, o di notte. Si va a letto tardi. Si va male a scuola. Si finisce per mollare. Per questo si propone di azzerare il costo delle tasse di iscrizione delle scuole statali.
Il problema che ne deriva, tuttavia, è che non basta andare a scuola, bisogna anche passare gli esami. Chi va alla statale - ponendo pure che gli sia finalmente possibile perché è gratis- ma non passa gli esami è costretto a riorientarsi alla privata. Che però costa troppo. L'ultima spiaggia è la scuola serale, a pagamento. Risultato? Adolescenti che lavorano di giorno per pagarsi la scuola serale a cui vanno di sera.
(Continua)

03 mars 2010

Why suits exist.

Many middle-aged man still think "smart casual" means their old school rugby shirt; even though it now covers their waist like a swimming cap stretched over a watermelon.
That's why suits were invented: to make it simpler for men to dress in ways that don't startle wildlife.

(The Times, March 2nd, 2010)