30 mars 2010
29 mars 2010
Bologna vista dagli Asinelli
Visto che mi sono laureata sono finalmente potuta salire in cima all'Asinelli, che è la torre più alta di Bologna, in pieno centro di essa. Infatti a Bologna, ridente città universitaria, vanno rispettate una serie di "leggi invisibili per gli universitari" la cui non osservanza comporta infinita sfiga e mancata laurea agli studenti universitari.
28 mars 2010
Laurea 卒業式

25 mars 2010
Tesi di laurea 卒論
Domani (ormai oggi) mi laureo alla triennale con una tesi intitolata "Tre short stories di Hoshi Shinichi: introduzione, traduzione e commento".
Ce soir, le concert - Stasera, concerto - コンサート

Ce soir aura lieu le concert de la chorale de l'Université de Bologna - dans laquelle je chante - accompagnée de l'orchestre de l'Université de Leipzig. Le directeur de l'orchestre est jeune, talentueux et plein de charme...répéter a été un vrai plaisir! Comme quoi ceux qui nous dirigent peuvent faire la différence...


22 mars 2010
独り言
この間はイタリア語でも述べたんですが、今年の受験勉強のおかげですくなくとも私は新聞を読む、ニュースを聞く人になった。隣の人のことも分からない昔の私にとってはかなりの上達で、入学試験を落ちてしまうとしてもこれからもう失わない生活のスタイルというか、生活の習慣が身に付けたような感じしていいことだと思う。ヨッシ!誇りだ。
19 mars 2010
Une lesson qui nous vient des japonais: l'avenir du nouveau parti au pouvoir pourrait intéresser les tories.
Les japonais adorent remarquer les ressamblances entre leur pays et l'Angleterre. Les deux occupent des îles situées à l'extrémité d'un continent avec lequel les relations sont parfois compliquées. Les deux sont des monarchies constitutionnelles avec un système parlementaire. Les deux peuples, dit-on, donnent beaucoup d'importance à la tradition, aux bonnes manières, aux jardins bien soignés, et au thé.
La comparaison ne s'étend d'habitude pas jusqu'aux partis politiques. Mais dans la semaine où David Cameron a lancé une campagne électorale avec le slogan “votez pour le changement”, les points en commun sont devenus plus difficiles à ignorer. Le premier ministre japonais, Hatoyama Yukio, a remporté une victoire écrasante en août 2009 grâce à un mantra similaire qui demandait du “changement de régime”. Sa performance au pouvoir suivant l'élection est une lesson a ne pas rater pour les tories.
Après être parvenu a démoniser le gouvernement sous le Parti Libéral-démocrate pour avoir guidé le pays pendant des décennies de gâchis, incompétence et corruption, le Parti Démocrate japonais de Hatoyama a vite dégringolé vers ses propres scandales. Le secrétaire général et stratège électoral principal, Ichiro Ozawa, a été pris dans une enquête sur des financement politiques. Depuis, des irrégularités financières concernant d'autres membres du parti ont été devoilées, et l'image de Hatoyama n'est pas sortie indemne des questionnements sur un héritage de part de la mère, précédamment gardé au secret, de 900 millions de yen. Tout comme Cameron, le premier ministre vient d'un background privilégié et est vu par beaucoup de japonais comme une sorte d'aristocrate.
Les critiques sur le Parti Démocrate japonais (centre-gauche) vont jusqu'à la politique économique, avec la déflation, les révenus qui tombent et une dette nationale qui arrive presque à 200% du PIL qui contribuent à augmenter cette impression que la nation entière s'envase façon GB. Ce n'est pas un hasard, et c'est d'ailleurs très irritant, si la Chine cette année va dépasser le Japon en tant que 2ème économie mondiale.
Parmi les problèmes que les tories pourraient rencontrer si ils prennent le pouvoir en Angleterre, les promesses du nouveau gouvernement de faire passer des réformes de budget, de redonner la priorité aux dépenses publiques, d'introduire des subventions pour les enfants et d'élargir le nombre d'écoles gratuites restent irréalisés et probablement infinanciables. En plus de tout ça, un changement controversé en matière de politique sur l'immigration se profile.
Jusqu'à maintenant, le Japon -cette nation volontairement homogène- a imposé de sévères limitations sur tout afflux d'étrangers. Mais une population vieillissante et une main-d'oeuvre qui fait défaut signifient que le pays a besoin de plus de travailleurs.
Les défenseurs du Parti Démocrate disent que le parti est sincère quand il affirme vouloir aider les gens et éviter que les puissants bureaucrates décident de tout en politique. Mais quelques erreurs au niveau intérieur en plus de la perspective d'un humiliant pas en arrière – ou d'un face à face dangereux- avec les Etats-Unis à cause du problème de relocalisation d'une base militaire à Okinawa ont eu un poids non négligeable sur la position publique du nouveau gouvernement.
A peine 6 mois après l'élection, le taux d'approbation a chuté à environ 40% alors qu'on spécule sur le fait que les partenaires de la coalition pourraient s'envoler et Hatoyama démissionner.
Comme il l'a souvent été le cas en GB dans de circonstances pareilles, le Parti Démocrate dispose d'une grande consolation. Au moment même où il se bat, ses concurrents sont obligés de se confronter, une situation d'opposition bien inhabituelle.
Yoichi Masuzoe, le leader plus populaire du Parti Libéral-Démocrate, a averti cette semaine qu'il pourrait bien former un parti de rupture. L'opinion pense que le Parti Libéral est “le parti bizarre et stupide” maintenant, a-t'il remarqué, et si il ne change pas rapidement il risque de ne plus jamais réussir à regagner du pouvoir. Cameron et les siens espèrent que c'est le même avenir qui guette le labour de Brown après les élections, et viceversa. Le nouveau parti au pouvoir du Japon est en difficulté, et nous promet des problèmes aux urnes en juillet. Mais ses opposants sont même encore plus mal en point.
Traduction d'un article paru sur The Guardian le 5 mars.
15 mars 2010
Challenge 25
Serendipity - Ciò che ho imparato finora preparandomi agli esami di ammissione per scuola interpreti.
13 mars 2010
A proposito del secondo "Hato Café"
12 mars 2010
Les problèmes de la princesse Aiko et de sa mère, Sa Majesté Masako.
Une princesse bousculée, une lourde couronne.
Article de Martin Fackler, The New York Times- Tokyo Journal, 12 mars 2010. Traduction par moi-même.
Quand un fonctionnaire de l'Agence de la Maison Impériale a annoncé la semaine passée que la princesse Aiko refusait d'aller à l'école parce qu'elle avait été intimidée par ses camarades, il a fait bien plus que revéler un problème banal qu'affronte un membre de l'ancienne et reservée monarchie du Japon.
Il a aussi revélé un nouvel aspect d'un des drammes plus captivants mais mystérieux au Japon, la dépression et réclusion durée 7 ans de la mère d'Aiko, la princesse héritière Masako, qui fut une diplomate formée à Harvard. Aiko est fille unique de la princesse Masako et de son mari, le prince héritier Naruhito, largement reconnue comme un des rares motifs de joie pour la triste princesse héritière.
Cet episode a de nouveau soumis la triste histoire de la princesse Masako au regard sévère de la presse populaire. Les médias ici ont représenté en 1993 son marriage comme le compte de fées d'un roturier qui épouse un prince, mais ils ont ensuite pris une attitude de plus en plus critique face à son incapacité de donner au trône un héritier mâle. On estime que la pression toujours plus forte a laquelle elle a été soumise est une des raisons principales qui l'ont menée à ce qui a tout l'air d'avoir été une dépression nerveuse.
Depuis l'annonce de la semaine passée, la princesse Masako est reapparue pour accompagner sa fille à l'école et même assister aux cours. Certains commentateurs se sont essayés à des spéculations sur le fait que les problèmes de la mère auraient pu rendre Aiko trop sensible ou emotionellement fragile.
La question en ce moment est de voire si la nouvelle que sa fille a été intimidée va rendre les japonais plus compatissants vers son sort, ou uniquement alimenter les critiques. Certains affirment que l'état d'Aiko ne fera qu'augmenter les demandes de la part du parti conservatoire aux père Naruhito, 50 ans, de renoncer à succeder à son père, l'Empereur Akihito, 76 ans.
“Beaucoup de gens ne vourront pas qu'une famille en telle mauvaise forme devienne l'Empereur et l'Impératrice” a dit Akira Hashimoto, un ancien camarade d'école de l'Empereur Akihito qui a écrit plusieurs livres sur la famille impériale. “Si les problèmes d'Aiko persistent, cela ne fera qu'augrmenter la pression sur le prince héritier Naruhito.”
L'attention de laquelle bénéficie à nouveau la famille des héritièrs au trône a repris vendredi, lorsque le fonctionnaire principal de l'Agence de la Maison Impériale, qui gère les affaires concernant le prince héritier et sa famille, a annoncé à une conférence de presse de routine qu'Aiko restait à la maison à cause de maux d'estomac et crises d'anxiété. Le fonctionnaire, Issei Nomura, a ensuite revélé que l'agence croiyait que la princesse avait subi des comportements violents de la part de garçons dans son école primaire, même s'il n'a pas donné de détails.
Ce défoulement apparamment imprévu est sans précédants parmi les cercles très restreints de la famille impériale japonaise, si liée aux traditions, et il a immédiatement déclenché une couverture médiatique fanatique des médias japonais. Certains reportages ont critiqué Nomura pour avoir réagi de façon excessive à un problème commun que beaucoup de parents d'autres classes sociales doivent affronter.
Toutefois les mots les plus crûs ont été addressés à l'école primaire Gakushuuin, crée il y a plus d'un siècle pour éduquer l'artistocratie d'avant-guerre du Japon. Des tabloids ont rapporté avec ton scandalisé comment l'école avait laissé que des élèves courent, crient en classe et se bagarrent dans la cour – une cohue normale dans d'autres écoles, mais inacceptable dans une école partonnée par la famille impériale.
En réponse aux commentaires de Nomura, un directeur de l'école, Motomasa Higashisono, a dit que Aiko avait pris peur car deux garçons avaient failli la heurter par accident alors qu'ils couraient à travers le corridor pour aller au réfectoire.
“D'après ce que j'ai cru comprendre, il n'y a pas eu d'actes de violence ou intimidation à l'égard de son altesse la princesse Aiko” a dit Mr. Higashisono. Malgré cela on a parlé de la possibilité que la famille impériale coupe ses relations avec l'école à cause de cet incident.
De façon indirecte, cette saga a aussi augmenté les préoccupations de quelques conservateurs sur la question si le prince Naruhito est apte a monter sur le trône ou pas. Certains observateurs de la Cour, comme Hashimoto ont commencé à se demander comment le prince pourrait s'occuper de ses tâches en tant que Empereur alors que sa femme en est incapable et que sa fille ne peut pas aller à l'école.
Naruhito a partagé le blâme à sa femme de ne pas avoir eu un garçon, ce qui a causé un débat très politique sur le fait de casser avec des siècles de tradition et permettre ainsi à une femme de monter au trône japonais, une des monarchies plus anciennes au monde. Ce dèbat s'est terminé il y a trois ans quand la femme du petit frère du prince héritier, le prince Akishino, a donné naissance à un fils, assurant ainsi au moins pour une génération la succession avec un héritier mâle.
D'autres, toutefois, disent que l'incident à l'école pourrait avoir l'effet contraire, c'est à dire de faire éprouver au public de la compassion pour princesse Masako. Si elle était perçue comme une mère préoccupée qui affronte les intimidations à son enfant, un problème bien trop commun dans le système éducatif très stressant du Japon, cela pourrait la faire sembler moins distante.
“Cela impressionnera le public, le fait que Masako a des problèmes comme nous tous”, a affirmé Takeshi Hara, un professeur spécialiste de la monarchie à l'Université Meiji. “Cela pourrait apporter plus de soutient à elle et au prince héritier”.