04 novembre 2010

Leopardi écrivait ainsi.

J'avais quelque chose d'intelligent à écrire; mais je l'ai oublié.

Alors tant pis, je remplirai le vide.
J'ai acheté "L'étranger" de Camus et "Chagrin d'école" de Pennac.
Histoire de me compliquer ces histoires d'influence française dans ma prose italienne...(?).
Je dévore ce qui est bien écrit, voilà tout. Et j'ai déjà lu ce qui est bien écrit en italien.

Ce seront mes lectures de vacances.

Bon début avec Pennac:
"Statistiquement tout s'explique, personnellement tout se complique".

Si je n'étais pas une stupide amante d'aphorismes et de jeux plus ou moins savants de mots, je ne serai pas une traductrice-wannabe.

Tout est prédéfini; non je n'aime pas le déterminisme. Je pense juste que je suis en train de suivre le chemin que ma vie a tracé pour moi, et qu'il est tant facile de suivre. Donc moi, qui ai écrit genre 24 journaux intimes entre 11 et 16 ans, et qui ai vécu sur 3 continents dans 6 pays différents, était prédestinée à vouloir devenir une traductrice.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire