16 novembre 2010

Festina lente

Faire des progrès dans la traduction, apprendre à bien traduire, cela demande beaucoup de patience envers soi-même et une bonne dose de courage pour pouvoir s'auto-critiquer.

Pour mon travail de séminaire (traduction d'un essai littéraire sur un cinéaste italien, 1000 mots 2 semaines), j'oscille alternativement entre élan et perte de confiance. Un jour j'ai l'impression d'être née pour cela, l'autre je ne me sens pas du tout à la hauteur...

Heureusement que j'ai un excellent professeur pour me guider...

1 commentaire:

  1. Ti capisco !
    D'ailleurs, voilà une petite phrase qui fait sourire (ou pas^^) :
    "Quand un livre marche, je dis toujours que c'est grâce à moi. Quand il ne marche pas, je dis que c'est à cause de la traduction." Harlan Corben.

    ;)

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